Auteur/autrice : starmate

28 avril 2016 /

Il peut être parfois utile de pouvoir identifier facilement un port réseau sur un serveur lors des opération de brassage.
Pour identifier facilement une carte, on peut utiliser la commande ethtool et son option -p (ou –identify) pour faire clignoter la diode d’activitée (celle des données) durant une durée déterminé.

Pour faire clignoter la carte eth0 pendant 5 seconde:

ethtool -p eth0 5

Pour faire clignoter la carte eth0 indéfiniment:

ethtool -p eth0

26 avril 2016 /

Le timestamp désigne le nombre de secondes écoulées depuis le 1er janvier 1970 à minuit UTC précise. Noter le temps de cette façon, indépendamment du fuseau horaire, est très pratique pour comparer des dates, mais cela s’avère difficile à lire pour l’utilisateur.

giphy

Heureusement, sous Linux on peut facilement y parvenir.

Pour obtenir le timestamp de la date et de l’heure courante :

date +%s

Pour avoir le timestamp d’une date précise:

date -d "2016-02-22 04:30:00" +%s

Et enfin, convertir un timestamp en date:

date -d @1461655272.314

25 avril 2016 /

[pastacode lang= »bash » manual= »yum%20-y%20install%20openssh-server » message= »Installation de Openssh » highlight= » » provider= »manual »/]

[pastacode lang= »bash » manual= »mkdir%20%2Fchroot_sftp » message= »Création du répertoire qui va accueillir le Chroot » highlight= » » provider= »manual »/]

[pastacode lang= »bash » manual= »ssh%20-V » message= »On s’assure d’avoir une version supérieur à la 4.9″ highlight= » » provider= »manual »/]

[pastacode lang= »bash » manual= »chown%20root%3Aroot%20%2Fchroot_sftp » message= »On s’assure que root:root est propriétaire » highlight= » » provider= »manual »/]

Le répertoire chrooté doit impérativement appartenir à root (login:groupe).
Pour un autre utilisateur voir l’option « bind » de la commande mount.

[pastacode lang= »bash » manual= »addgroup%20sftpusers » message= »Création du groupe sftpusers » highlight= » » provider= »manual »/]

[pastacode lang= »bash » manual= »vi%20%2Fetc%2Fssh%2Fsshd_config » message= »Configuration d’Openssh » highlight= » » provider= »manual »/]

Il faut préciser ici, que l’on utilise le serveur sftp interne à OpenSSH.
Nous activons également le chroot sur le répertoire /chroot_sftp pour tous les utilisateurs du groupe sftpusers et nous interdisons, par mesure de sécurité, la redirection X11 ainsi que le tunnel TCP.

On commence par commenter et modifie le paramètre « Subsystem »:

#Subsystem sftp /usr/lib/openssh/sftp-server
Subsystem sftp internal-sftp

Puis on met ça juste à la fin du fichier :

 Match Group sftpusers
ChrootDirectory /chroot_sftp
ForceCommand internal-sftp
AllowTCPForwarding no
X11Forwarding no

Le partie « Match » doit absolument se trouver à la fin du fichier comme on peut le voir dans le man de sshd_config.

Dans le paramètre « ChrootDirectory » on peut rajouter %u pour un répertoire portant le nom de l’utilisateur, ou simplement %h pour le répertoire /home de l’utilisateur

Match
Introduces a conditional block. If all of the criteria on the Match line are satisfied, the keywords on the following lines override those set in the global section of the config file, until either another Match line or the end of the file.

[pastacode lang= »bash » manual= »useradd%C2%A0%20–gid%20sftpusers%20–groups%20sftpusers%20-m%20–shell%20%2Fbin%2Ffalse%20-d%20%2Fchroot_sftp%20sftp1″ message= »Création du compte client sftp1″ highlight= » » provider= »manual »/]

[pastacode lang= »bash » manual= »mkdir%20%2Fchroot_sftp%2Fsftp1%0Achown%20sftp1%3Asftp1%20%2Fchroot_sftp%2Fsftp1%0Achmod%20700%20%2Fchroot_sftp%2Fsftp1″ message= »Création de son répertoire de travail sftp » highlight= » » provider= »manual »/]

[pastacode lang= »bash » manual= »%2Fetc%2Finit.d%2Fssh%20restart » message= »On relance ssh » highlight= » » provider= »manual »/]

[pastacode lang= »bash » manual= »systemctl%20restart%20sshd.service » message= »ou » highlight= » » provider= »manual »/]

[pastacode lang= »bash » manual= »sftp%20sftp1%40localhost » message= »Test de bon fonctionnement » highlight= » » provider= »manual »/]

 

21 avril 2016 /

​Pour faire une modification sur la ligne du curseur:
:s/texte_à_remplacer/nouveau_texte/g​

​Pour agir sur l’ensemble du fichier:
:%s/texte_à_remplacer/nouveau_texte/g

​​​Pour agir sur l’ensemble du fichier avec une confirmation:
​​:%s/texte_à_remplacer/nouveau_texte/gc​

​Pour agir sur l’ensemble du fichier en ignorant la casse:
​​:%s/texte_à_remplacer/nouveau_texte/gci​

Pour agir sur l’ensemble du document​ en prenant en compte la casse:
:%s/texte_à_remplacer/nouveau_texte/gcI ​

Pour agir sur les lignes avec le mot rototo, remplaçant toto par titi, laissant intacte les lignes ne contenant pas le mot rototo​:
​:g/rototo/s/toto/titi/g

Pour agir sur une ligne commençant par le mot rototo, remplaçant toto par titi, laissant intacte les lignes ne contenant pas le mot rototo​:
:g/^rototo/s/toto/titi/g

20 avril 2016 /

Opus (à l’origine Harmony3) est un format ouvert de compression audio avec pertes, libre de redevances, développé par l’Internet Engineering Task Force (IETF) dans le but d’être utilisé par des applications interactives sur Internet.

Opus est la proposition, en format standard, acceptée dans la compétition codec de l’IETF pour un « nouvel Internet à large bande audio », actuellement en développement par le groupe de travail IETF codec.
Il est basé sur deux propositions standards, initialement séparées, de la Fondation Xiph.org et Skype Technologies : respectivement le codec CELT, à faible temps de latence, et le codec SILK, orienté sur la communication à distance.
Ses principaux développeurs sont Jean-Marc Valin (Xiph.org, Octasic, Mozilla Corporation), Koen Vos (Skype Technologies) et Timothy B. Terriberry (Mozilla Corporation). Raymond Chen (Broadcom), Gregory Maxwell (Xiph.org) et Christopher Montgomery (Xiph.org), entre autres, ont également participé.

Pour faire cette conversion, on va se servir de ffmpeg:

ffmpeg -i 4_saisons_vivaldi.opus -ab 160k -ar 44100 4_saisons_vivaldi.mp3

Si vous avez une multitude de fichier .opus à convertir, vous pouvez lancer cette boucle:

cd /repertoire/cible/
find . -name « *.opus » -print0 |while read -d $’\0′ file; do ffmpeg -i « $file » -ab 128k -ar 44100 -y « ${file%.opus}.mp3 »;done

Note:
ab: Le bitrate en bps.
ar: Fréquence d’échantillonnage en hertz